17 novembre 2010
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Les risibles feuilletons pseudo-économiques du moment, où on prédit alternativement la mort du dollar et la fin de l'euro, ont fait oublier les travaux des obscurs climatologues dont plus personne ne se soucie depuis Copenhague.
Heureusement, le New York Times les remet à l'honneur et rappelle que la montée attendue des eaux sera probablement sensiblement supérieure à celle prévue par le dernier rapport du GIEC.
Pour son plan B, faut-il préférer les falaises picardes à l'île d'Oléron ? C'est avant tout une question de goût personnel. Car n'oublions pas que toutes ses projections sont toujours bâties sur la base de scénarios d'émissions discutables.