La vérité, c'est qu'en ce moment, le concombre espagnol fait plus peur aux Européens que le prix du baril.
Difficile à croire que des cucurbitacées empoissonnées cherchent à venger la décision très politicienne du gouvernement allemand d'arrêter le nucléaire civil d'ici 2022. C'est le plus bel exemple de NIMBY de ces dernières années.
Pour en revenir à notre pétrole qu'on cherche désormais à extraire de ROZ à grands coups d'EOR - hé oui, une nouvelle entrée à notre glossaire de l'énergie - son prix moyen semble désormais s'installer à un nouveau palier d'accoutumance, notamment pour nos amis d'outre-Manche pour qui, du fait de la dévaluation de la livre, le brut n'a jamais été aussi cher.
Dommage pour eux qu'ils soient désormais à nouveau importateurs nets...